SALON MAGAZINE
Au début des années 1990, le secteur professionnel de l’esthétique était en plein essor. Pourtant, seul un magazine à faible diffusion ciblait cette activité. L’époque était donc propice au lancement d’un magazine qui répondrait aux besoins de la profession et des annonceurs. Ainsi, en 1993, Salon sortait son premier numéro.
Comme il s’agissait de l’une des premières revues professionnelles du secteur, les éditeurs ont dû faire face à un marché peu accoutumé à la publicité, et qui n’était donc pas toujours prêt à y consacrer un budget. Il fallait d’abord convaincre les entreprises du fait que la publicité était nécessaire, ce qui représentait souvent, à l’époque, une bataille ardue. Toutefois, les annonceurs furent bientôt convaincus. De nombreux collaborateurs de Salon travaillent également avec la revue depuis ses débuts.
Au départ, les éditeurs se sont concentrés sur la nécessité de gagner en crédibilité sur le marché. Pour ce faire, ils savaient qu’il leur fallait publier le meilleur magazine possible. Les contenus graphiques et éditoriaux étaient élaborés avec soin. En outre, dès les premiers numéros, Salon a investi dans la diffusion. Cela a permis à la revue de devenir au fil des ans une valeur sûre du marché et le magazine professionnel d’esthétique le plus demandé au Canada. La rédaction a ensuite lancé un nouveau magazine professionnel d’amélioration cosmétique et de soins anti-âge, sous le nom d’Elevate.
Près de 25 ans plus tard, Salon a reçu de nombreuses distinctions pour ses contenus graphiques et éditoriaux. Récemment, le magazine a été remarqué pour sa présence numérique. Sa liste de récompenses comporte désormais le prix du coiffeur canadien de l’année (The Canadian Hairstylist of the Year Awards), également connu sous le nom de Contessa. Ce prix a donné un coup de projecteur non seulement sur le talent du lectorat, mais également sur celui des annonceurs.
Tout comme les autres éditeurs à faible diffusion, Salon disposait de ressources limitées pour investir dans des projets stratégiques à plus long terme, comme la diffusion, les sondages et le numérique. C’est là que la SODIMO a apporté son aide. Grâce au Fonds d'aide de la SODIMO aux éditeurs de revues, la SODIMO a récemment donné à Salon la possibilité d’entreprendre un sondage d’envergure qui permettra à Salon d’améliorer le service offert à sa clientèle, et de croître. Le Fonds de la SODIMO pour les produits multimédias interactifs numériques a soutenu l’expansion numérique du magazine. Enfin, la société a également tiré avantage des cours et des programmes proposés et destinés à améliorer l’activité de l’entreprise.
La direction de Salon espère continuer à investir dans le numérique, en tirant parti des données réunies au moyen des sondages et d’analyses visant à stimuler la croissance. La rédaction est également à la recherche d’idées de publications complémentaires des contenus existants, en vue de présenter les professionnels et les annonceurs du secteur de l’esthétique sous leur meilleur jour.
« Notre activité ne se résume pas à la publication d’une revue; nous aidons nos lecteurs et nos annonceurs à développer leur activité afin de rencontrer le succès. Rapprocher des entreprises et les voir grandir est une expérience très enrichissante. Leur réussite est aussi la nôtre. »
—Laura Dunphy, éditrice/présidente, Salon Magazine
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